Wednesday, 28 November 2012

 
Dre Hala Fondation diffuse les plus récentes découvertes en Sciences De L’Apprentissage Et Recherche Sur Le Cerveau, organise des conférences, offre une formation en Neuro Éducation et des services éducatifs aux jeunes et aux adultes.

Nos conférences en neuroéducation mettent la lumière sur des études probantes et scientifiques concernant l’apprentissage de la lecture, les méthodes d’enseignement efficaces surtout auprès d’enfants en difficultés scolaires, les aliments néfastes au fonctionnement du cerveau…

Comprendre le cerveau pour mieux apprendre et mieux enseigner est une réalité scientifique aujourd'hui . Notamment nos conférences portent sur les thèmes suivants :

 
Série 1: Cerveau & Apprentissage

Cerveau Et Apprentissage De La Lecture

Cerveau Et Apprentissage Des Langues

Méthodes D’Enseignement Efficaces Selon La Recherche Scientifique


Série 2: Cerveau & Alimentation

Effet Du Sucre De synthèse Sur Le Fonctionnement Cérébral
Influence Of Oxygen, Water, Laughter On The Brain Capacity Of Learning
Food For thought: The Role Of Nutrition To Increasing Learning

 

Série 3 : Le Cerveau Social

Le Cerveau Social Et Les Neurones Miroirs

Bénéfice Des Facteurs De Détente Sur Le Cerveau

 
Série 4: Petite Enfance Et Développement Du Cerveau

Rôle De L’Attachement Dans Le Développement Du Cerveau Chez Le Jeune Enfant

Cerveau Du Bébé: Il Entend, Voit, Rêve, Compte Et Mémorise

Depression In Preschoolers



 
Neuroplasticité : Quelle Merveille !

 
On pensait jusqu'à tout récemment que le cerveau n'avait pas la capacité de régénérer ses cellules et ses neurones. Mais cette idée est fausse. En fait, le cerveau se comporte vraiment comme un muscle. Si on l'entraîne adéquatement, il gagne en performance de façon durable.

Le docteur Stéphane Bergeron, président fondateur du centre Brain international, nous explique qu'il n'est jamais trop tard pour commencer à entraîner notre cerveau.

Notre cerveau se développe et évolue à tout âge de la vie, quand il est stimulé… c’est une très bonne nouvelle, particulièrement encourageante pour tous ceux qui, malgré les années, veulent continuer à apprendre.

Vos neurones peuvent se développer (jusqu’à décupler leur taille) et multiplier leurs synapses (ou au contraire se ratatiner si vous ne faites rien. On a aujourd’hui la preuve que quasiment n’importe quelle zone du cerveau est modelable, au prix d’efforts puissants mais accessibles, et que les zones corticales « spécialisées » dans telle ou telle fonction sensorielle (toucher, vision, audition…) ou motrice (commandant nos centaines de muscles…) peuvent se remplacer les unes les autres

Une plasticité vertigineuse....

Références :



http:// pensee-creatrice.over-blog.com/article-la-neuroplasticite-du-cerveau-8052835.html

Résumé d’un article de Patrice van Eersel . Revue © Nouvelles Clés
http://www.cles.com/dossiers-thematiques/cultures-du-monde/xxieme-siecle-les-visions-de-34/article/patrice-van-eerselPatrice van Eersel« A la recherche de la mémoire. Eric Kandel, la passion d'une vie » de Petra Seeger

Les scientifiques ont cru dans le passé que le cerveau endommagé par un accident physique ou neural comme une AVC (accident vasculaire cérébral) allait rendre cette partie du cerveau ineffective et provoquer une réaction définitive chez le patient sous la forme d'une paralysie ou au mieux une paresthésie spécifique. Dans le passé on avait pour ainsi dire « mappé » le cerveau. Telle région du cerveau pour telle fonction. Par exemple l'arrière de la tête pour la vision. La région du lobe latéral pour l'audition. Etc. La conclusion était : si cette région est atteinte, le patient venait de perdre toute chance de récupérer. Certains pionniers neurologues chercheurs ne purent laisser au hasard le fait que certains patient, refusant cette conclusion, se sont remis à marcher, à parler, à bouger etc. Et ainsi on a découvert un phénomène extraordinaire, nouveau pour la science moderne, qu'on a qualifié de : « Neuroplasticité », mot qui n'est pas encore dans le dictionnaire.

En un mot, quand une région du cerveau présente une dysfonction spécifique, votre cerveau a la capacité cérébrale de rééduquer cette fonction en utilisant une région cérébrale différente. Le cerveau créera de nouvelles connections neuronales. Pour dire simplement, le cerveau se« rééduquera » en utilisant des régions nouvelles. Avec le temps, la guérison deviendra possible.

((Rappelez-vous que chaque jour, le corps remplace plus de 500 milliards de cellules. Et celles qui sont remplacées les premières sont les cellules malades.))

 

Tuesday, 27 November 2012

Depression In Preschoolers


Depression In Preschoolers
 
 
Research shows that depression is hitting kids as young as three

(( This text is a resume of Luby’s research on early depression))

 

BY HALA ELM

 

Depression is hitting at younger ages.   Luby’s research from Washington University in St. Louis as well as other studies now counter that view.

Joan Luby, a principal investigator on the study, and professor of child psychiatry at WUSM, has been following - for several years - a group of individuals diagnosed with depression during their preschool years.

Her findings show that young children report similar depressive symptoms as adults, but exhibit the symptoms differently.  Children, for instance, who are depressed can’t find pleasure in any fun activities an and they can’t have fun doing anything, from playing, to watching television, to going on vacation. They are miserable most of the time regardless of activity.

Luby pointed out that depression in children as young as three years of age is real and not just a passing grumpy mood.  Luby points out that until fairly recently, “people really haven’t paid much attention to depression disorders in children under the age of six because children under six were too emotionally immature to experience it.”

Luby found that the preschoolers who came into her study and were diagnosed as depressed were four times as likely to be depressed two years later compared to a control group of healthy children.

An ongoing study funded by the National Institutes of Mental Health and conducted by researchers at Washington University School of Medicine (WUSM) attempts to pinpoint and understand psychiatric disorders in preschoolers, and one aspect of the study focuses specifically on preschool-aged depression.

The research studied the temper tantrums of 270 children between the ages of 3 and 5. Those children identified with having a major depressive disorder (MDD) either exclusively,  or MDD along with a disruptive disorder such as ADHD ), showed more extreme aggressive behavior toward a caregiver, parent, or object such as a toy.  They also displayed self-injurious behaviors.

Beware that depression is now diagnosed in even toddlers!  The sooner our children get the right diagnosis and the right treatment, the better the prognosis.   A child today is ten times more likely to be seriously depressed compared to a child born in the first third of this century.

Almost one-third of thirteen-year olds have marked depressive symptoms.

By the time they finish high school,   almost 15 percent have had an episode of major depression. 

One thing most child development researchers agree is that when depression is diagnosed early and properly treated, kids almost can be helped and feel better.  And the earlier you seek treatment the better.

Reference:

Reference:

ttp://www.allpsychologycareers.com/topics/depression-in-preschoolers.html

 

Depression Signs in a Preschooler:

Verbal skills are limited so will have trouble describing feelings. Look for loss of pleasure in play (or inability to enjoy playtime) as well as frequent and unexplained stomachaches, headaches, and fatigue; overactive and excessive restlessness; irritability or low tolerance for frustration; frequent sadness.

Signs and symptoms of possible early childhood depression:

Hopelessness

Inability to enjoy activities

Persistent boredom

Children who prefer to be alone

 

To see What Depression Looks Like in Children By Stages and Ages, Please Refer to:

http://www.msnbc.msn.com/id/32271786/ns/health-childrens_health/t/kids-young-can-have-chronic-depression/ Kids as young as 3 can have chronic depression

http://www.coparenting.co.za/articles.php?art_id=62&art_cat_id=17 http://coparenting.co.za/articles.php?art_id=62&art_cat_id=10


http://www.oregonlive.com/health/index.ssf/2009/08/depression_can_be_chronic_in_c.html



The Big Book of Parenting Solutions: 101 Answers to Your Everyday Challenges and Wildest Worries. More specific recommendations, up-to-date research and parenting solutions are provided in the chapter on Depression.

Child and adolescent psychiatrist, David Fassler, MD, offers these signs of childhood depression in his must-read book, “Help Me, I’m Sad!”

 

 

Cerveau Du Bébé


Cerveau Du Bébé: Il Entend, Voit, Rêve, Compte Et Mémorise
 
Les recherches sur le cerveau des tout-petits, des nouveaux- nés , effectuées par Ghislaine Dehaene et de son mari Stanislas Dehaene, nous révèlent que le cerveau des bébés n’est pas une ardoise vierge :   Il entend, il voit, il rêve, il compte et il mémorise. Quelle Merveille! 

Ghislaine Dehaene, pédiatre et chercheure au CNRS, dirige l’équipe de Neuro-Imagerie au centre de recherche Neurospin, à Saclay.  Elle étudie la façon dont se mettent en place la mémoire et la pensée chez le tout-petit. 

Dans une de ses recherches  En Développement Cognitif Du Nourrisson,  on  ne peut que s’émerveiller du développement du cerveau chez le bébé : «  Les bébés âgés de trois mois ont le sens des nombres »

Selon cette recherche, les bébés sont capables de faire la différence entre 2 et 4, ou bien entre 4 et 8.  On a pu le démontrer grâce à un outil ( l’électro  ­encéphalographie ) qui enregistre les réponses électriques du cerveau.  Quand on montre à plusieurs reprises des images différentes comportant deux canards, le cerveau du bébé s’habitue, il répond de moins en moins. Mais si l’on change le nombre des canards, l’enfant réagit, ce qui se traduit par une modification des ondes électriques cérébrales.

Ghislaine Dehaene démontre aussi dans ses recherches que le bébé n’est pas une ardoise vierge, il sait reconnaître les odeurs et  les visages et déterminer que ce qu’il voit est vivant ou pas.  Le bébé reconnaît la voix de sa mère jusque dans son sommeil.  Les régions du cerveau sollicitées quand l’enfant entend sa mère sont les régions auditives et aussi les zones des émotions. Alors que quand  le bébé entend une voix étrangère, les zones des émotions ne répondent pas.

Référence :

Dans le cerveau des tout-petits


http://www.pourlascience.fr

http://www.lavie.fr/hebdo/2010/3358/dans-le-cerveau-des-tout-petits-06-01-2010-1647_88.php


http://www.unicog.org/bblab/topic/index.html


http://www.unicog.org/bblab/nosresultats/index.html


 

 

Cerveau & Neuroplasticité

On pensait jusqu'à tout récemment que le cerveau n'avait pas la capacité de régénérer ses cellules et ses neurones. Mais cette idée est fausse. En fait, le cerveau se comporte vraiment comme un muscle. Si on l'entraîne adéquatement, il gagne en performance de façon durable.

Le docteur Stéphane Bergeron, président fondateur du centre Brain international, nous explique qu'il n'est jamais trop tard pour commencer à entraîner notre cerveau.

 Notre cerveau se développe et évolue à tout âge de la vie, quand il est stimulé… c’est une très bonne nouvelle, particulièrement encourageante pour tous ceux qui, malgré les années, veulent continuer à apprendre. article La neuroplasticité du cerveau

 Vos neurones peuvent se développer (jusqu’à décupler leur taille) et multiplier leurs synapses (ou au contraire se ratatiner si vous ne faites rien.  On a aujourd’hui la preuve que quasiment n’importe quelle zone du cerveau est modelable, au prix d’efforts puissants mais accessibles, et que les zones corticales « spécialisées » dans telle ou telle fonction sensorielle (toucher, vision, audition…) ou motrice (commandant nos centaines de muscles…) peuvent se remplacer les unes les autres 

 Une plasticité vertigineuse. Certaines personnes fonctionnent avec 90% des liaisons entre néocortex et bulbe rachidien rompues

Références :

http://www.braincenterinternational.com/equipe.php


http:// pensee-creatrice.over-blog.com/article-la-neuroplasticite-du-cerveau-8052835.html

 

Résumé d’un article de Patrice van Eersel

pour la revue © Nouvelles Clés


 

Les scientifiques ont cru dans le passé que le cerveau endommagé par un accident physique ou neural comme une AVC (accident vasculaire cérébral) allait rendre cette partie du cerveau ineffective et provoquer une réaction définitive chez le patient sous la forme d'une paralysie ou au mieux une paresthésie spécifique. Dans le passé on avait pour ainsi dire « mappé » le cerveau. Telle région du cerveau pour telle fonction. Par exemple l'arrière de la tête pour la vision. La région du lobe latéral pour l'audition. Etc. La conclusion était : si cette région est atteinte, le patient venait de perdre toute chance de récupérer.  Certains pionniers neurologues chercheurs ne purent laisser au hasard le fait que certains patient, refusant cette conclusion, se sont remis à marcher, à parler, à bouger etc. Et ainsi on a découvert un phénomène extraordinaire, nouveau pour la science moderne, qu'on a qualifié de : « Neuroplasticité », mot qui n'est pas encore dans le dictionnaire.

 

En un mot, quand une région du cerveau présente une dysfonction spécifique, votre cerveau a la capacité cérébrale de rééduquer cette fonction en utilisant une région cérébrale différente. Le cerveau créera de nouvelles connections neuronales. Pour dire simplement, le cerveau se « rééduquera » en utilisant des régions nouvelles. Avec le temps, la guérison deviendra possible.

 

((Rappelez-vous que chaque jour, le corps remplace plus de 500 milliards de cellules. Et celles qui sont remplacées les premières sont les cellules malades.))

 

Facteurs De Détente Et Cerveau



Bénéfice Des Facteurs De Détente Sur Le Cerveau

La plupart des façons d’améliorer le fonctionnement cérébral dépendent de facteurs tels que: la qualité de l’environnement social et des rapports humains, l’alimentation saine, les exercices physiques, le sommeil…  C’est ce qu’il ressort d’une étude intitulée « Comprendre le cerveau : naissance d’une science de l’apprentissage » présentée lors de la Conférence Internationale OCDE/CERI en 2007 (1)

En effet, au centre du cerveau humain se trouve un ensemble de structures appelé « cerveau émotionnel » ou  « système limbique ». 

Le stress rend performant et améliore la cognition et l’apprentissage, mais au-delà d’un certain niveau, on obtient l’effet inverse.

Dr Daniel Goleman discute abondamment de l’influence du cerveau émotionnel sur le cerveau rationnel (2).  Dans son livre, « L’intelligence émotionnelle : comment transformer ses émotions en intelligence ». (1997)   Il met en lumière l’influence des émotions sur le fonctionnement du cerveau pensant.  Il relate la relation entre le stress et l’immobilisme cognitif et démontre qu’un haut niveau de stress peut engendrer l’immobilisme cognitif.  Ce dernier peut miner les capacités intellectuelles d’un individu en accaparant son attention et en l’empêchant de se fixer sur la tâche à réaliser.  Toute l’attention du sujet est alors captée par son anxiété.  On comprend donc que l’anxiété et le stress puissent saboter les résultats scolaires. 

Dr Goleman va aussi plus loin en soulignant les effets de l’état de flow sur le cerveau.  Il décrit cet état  comme une « Oasis d’efficacité corticale », comme un état de concentration-détente, où les choses les plus difficiles sont faciles et où les performances exceptionnelles sont tout à fait naturelles.

Dr Henri Rubinstein discute des bienfaits du rire sur la santé (3). 

Le rire est un antidote naturel contre le stress.  Lorsque l’on rit, on sécrète des endorphines. Ce sont des hormones qui ont des propriétés antalgiques : elles réduisent la production d’adrénaline et de cortisol qui sont générés par le stress. Rire nous permet de bien oxygéner notre cerveau,  il est un relaxant musculaire, car la contraction du diaphragme stimule les organes à proximité : foie, estomac, intestin, rate.

Le Témoignage d’une enseignante, Madame Carol Peterson nous éclaire aussi sur les bénéfices des facteurs de détente sur le cerveau.

Madame Carol Peterson (4), enseignante de 4e année à l’école Brighton Public School du Kawartha Pine Ridge District School Board  (EAO),  révèle  dans un témoignage l’effet des facteurs de détente sur le cerveau.

Madame Carol Peterson a demandé à ses élèves de faire 20 minutes supplémentaires d’éducation physique par jour.  Le changement dans sa classe a été spectaculaire.  Après cette période d’activité physique, ses élèves, qui sont habituellement agités, se mettent au travail avec enthousiasme. « Je considère que chaque minute que je leur laisse pour jouer procure d’énormes avantages», explique-t-elle, en faisant remarquer que certains garçons écrivent une douzaine de pages supplémentaires.  

Selon Mme Peterson, la logique derrière ce changement s’explique par la science du cerveau.  Elle explique  « Pour apprendre  et enseigner, il est nécessaire de créer des schèmes structuraux solides entre les neurones…  Un grand nombre de pratiques d’enseignement empêchent les neurones de communiquer et désactivent le processus d’apprentissage.  Parmi ces pratiques, mentionnons : se tenir debout devant une classe et réciter des informations sans expliquer pourquoi il est important pour les élèves de connaître ces informations »

 

Référence & Liens Utiles

1. « Comprendre le cerveau : Naissance d'une science de l'apprentissage »  Centre pour la recherche et l'innovation dans l'enseignement. 2007

Site internet :  


Pour ample lecture sur le cerveau émotionnel :

David Servan-Schreiber - Le cerveau emotionnel http://www.youtube.com/watch?v=CO-b5Y8jo14


 


 

 
2.  Coleman, D. (1997), L’intelligence émotionnelle : comment transformer ses émotions en intelligence, Trad. T. Piélat, Paris, Éditions Robert Laffont, S. A.

Coleman, D  (1999), L’intelligence émotionnelle  Cultiver ses émotions pour s’épanouir dans son travail, Robert Laffont

http://www.uquebec.ca/capres/fichiers/art-Chbat-Janv.09.shtml

 

3.  Pour en savoir plus :



4.http://pourparlerprofession.oeeo.ca/juin_2010/features/neuroscience.aspx En janvier